Description

Hommage personnel, écrit de circonstance, contrainte littéraire : trois grandes traditions de la poésie occidentale se rejoignent dans ces Beaux présents, qui explorent de façon variée les potentialités littéraires d’alphabets restreints et poursuivent les recherches inaugurées en 1969 par Georges Perec avec son roman sans e, La Disparition.
Renouant avec les plus anciennes joies combinatoires de l’anagramme, Julien Marcland, après Georges Perec, les renouvelle, les systématise et les enrichit dans l’esprit d’une féconde poétique du manque. Au-delà du déchiffrement et de l’anecdote, ces pièces de patient et amical artisanat textuel invitent à la découverte d’un lyrisme généreux autant que discret, virtuose et ludique.